La diversité culturelle dans le secteur musical
La tendance mondiale au métissage culturel est une réelle richesse pour le secteur musical. Les paysages musicaux sont aujourd’hui nourris par les musiques des diasporas. Ces populations ont apporté et apportent encore dans les bagages de la migration, cultures et traditions musicales qui se lient au monde occidental.
La musique permet-elle une meilleure intégration de la diversité culturelle au sein de nos sociétés et peut-elle être la solution face aux discriminations ?
Avec:
Guy Dermosessian ist in Beirut geboren. Seit fünfzehn Jahren reist er mit seinem Musiklabel Kalakuta Soul Records und prall gefüllten Plattentaschen durch die Clublandschaft Europas und spielt sorgfältig ausgesuchte Schallplatten aus allen vier Ecken des Planeten.
In seinen langen und vielseitigen DJ Sets hinterfragt er den meist eurozentrischen Kanon der hiesigen Club- und Popkultur und lässt türkischen Funk auf nigerianischen Boogie, Musica Popular Brasileira auf kamerunische Makossa und kubanische Guaracha auf kapverdische Coladeras treffen.
Zusammen mit Özlem Avcı, Gin Bali, Wagma Bromand und Kübra Sekin gründete er die Plattform für diasporische Club- und Popkulturen „Amalopa“, einen solidarischen BIPOC Space für die Produktion und Publikation von Musik, Kunst und Wissen.
Photo ©Olad Aden
Je rejoins en tant que bénévole la Commission franco-allemande de la jeunesse en 2019 où j’exerce le rôle de chargée de l’événementiel dans le but de promouvoir et faire avancer les échanges entre l’Allemagne et la France.
En 2020, une équipe dont laquelle je fais partie décide d’aborder le thème de la lutte contre le racisme dans le monde franco-allemand. Nous organisons en 2021 un atelier afin de construire, déconstruire nos idées reçues, nous remettre en question et de faire évoluer le monde franco-allemand vers plus de diversité, d’inclusivité et de respect. Aujourd’hui, et plus que jamais il est primordial pour la CFAJ et pour ma part de continuer à sensibiliser et motiver à agir activement contre le racisme et les discriminations.
Née à Paris mais ayant grandi en Guadeloupe, Célia commence la musique avec le "Ka" (percussion traditionnelle antillaise) à l'école du grand George Troupé, puis se consacre à la flûte. Elle fait sa première apparition sur scène à l'âge de 12 ans et ne la quittera plus. De retour à Paris, elle s'immerge dans la culture Hip Hop, notamment la danse, qui devient son métier avant de décider de revenir à la musique et de sortir deux EP mêlant musique électronique et musique traditionnelle antillaise (Gwo ka). Après deux EP autoproduits, "Wastral" sorti sur le label parisien Heavenly Sweetness (juin 2021) est la somme de ces inspirations et influences.
Né dans l'acoustique, c'est sous la production moderne et futuriste de Victor Vagh (producteur de Flavia Coehlo) que les sept titres se sont révélés puis sublimés.